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Faut-il se positionner rapidement ou au contraire jouer un peu la montre avant de signer ses contrats pour 2024-2025 dans le transport maritime conteneurisé ? Retrouvez nos préconisations pour appréhender au mieux la nouvelle saison des appels d’offres.
C’est la rentrée, avec ses budgets, ses intempéries et ses fichiers Excel chaque année plus lourds de quelques lignes et de quelques colonnes... Dans le transport maritime conteneurisé, ce début d’automne est traditionnellement marqué par l’ouverture de la saison des appels d’offres.
Côté chargeur, l’exercice consiste à se positionner au meilleur moment afin d’obtenir le prix cible auquel on souhaite parvenir pour ses flux existants et potentiels. Le résultat intervient généralement au bout de trois tours d’appel d’offres, voire parfois quatre pour les trafics les plus disputés.
Un travail colossal et difficile
Pour le client, comme pour les compagnies maritimes, cet exercice nécessite un travail colossal de traitement des données et s’accompagne d’une forte pression, pour un résultat pourtant presque toujours imparfait. En effet, les contrats en maritime sont très fastidieux, et parfois aléatoires en raison de facteurs exogènes lourds s’invitant en cours de contrat (force majeure, par exemple).
Ce qui caractérise les contrats maritimes conteneurisés, c’est d’abord l’extrême difficulté pour un chargeur de prévoir précisément...
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